Quentin DMR est un artiste qui se définit comme « photographe-plasticien », deux termes qui s’opposent et se rejoignent.
Il expérimente, détourne, réoriente le regard et réalise une « déconstruction de l’image ». Il ne s’agit ni de détruire la représentation, ni de s’accommoder de ses stéréotypes. Le but de ses expérimentations est de pousser le spectateur à participer activement à la recomposition de l’image. Car le véritable rôle de ces coupures est d’interroger le langage de l’image. Une rencontre immersive et philosophique entre la trace d’un réel et le sens que l’on veut bien lui apporter.
Quentin DMR is an avant-garde artist who transcends conventional labels, identifying himself as a « photographer-sculptor »—two roles that paradoxically clash and converge within his work.
He doesn’t merely capture or display; he disrupts, provokes, and reinvents. Engaging in what he describes as a « deconstruction of the image, » Quentin DMR sidesteps the pitfalls of both destroying representation and settling for its stereotypes. Instead, he beckons the viewer into an interactive reimagining of the visual experience. Each fragment, each cutout serves a purpose far beyond aesthetic appeal: it challenges the very language of visual representation. What emerges from his work is not just art but an immersive, philosophical experience—a dynamic interplay between the tangible remnants of reality and the subjective meaning we impart to them.
BIO by Quai 36.
Creative process
Je commence par la rencontre, le lieu. Ensuite je crée les rencontres qui me permettent de travailler sur ma création par la prise de portraits. De retour dans mon atelier, je travaille principalement sur photoshop et ensuite sur l’impression papier que je découpe, déchire, morcelle… Toutes les fresques, installations ou tableaux sont créés en petits formats, en maquettes. Je scanne mes créations afin de créer une texture usée, abîmée et ensuite j’agrandie tout sur de grands tirages papier.
I start with the meeting, the place. Then I create meetings that allow me to work on my creation by taking portraits. Back in my workshop, I work mainly on Photoshop and then on the paper print that I cut, tear, piece together… All the frescoes, installations or paintings are created in small formats, in models. I scan my creations to create a worn, damaged texture and then enlarge everything onto large paper prints.